Google Blockly

Blockly est une bibliothèque logicielle JavaScript permettant de créer des environnements de développement utilisant un langage graphique. C’est un projet source libre de Google présenté la première fois à la Maker Faire en septembre 2012. Il s’agit d’assembler des blocs dans un éditeur visuel directement sur une page web. Le code généré est exempt d’erreurs de syntaxe et peut être exporté en JavaScript, Python, PHP, Dart ou Lua.

L’interface utilisateur de Blockly est composée de deux éléments : une boîte à outils et un espace de travail. La boîte à outils contient tous les blocs disponibles pour créer le programme, ces blocs sont présentés seuls ou en catégories. Les blocs de la boîte à outils peuvent être déplacés par “glisser-déposer” au sein de l’espace de travail afin de créer un programme. Les blocs sont définis par le créateur de l’interface et peuvent être assemblés selon des règles prédéfinies de placement vis-à-vis des autres blocs. Parmi les blocs prédéfinis on trouve différentes catégories : logique, boucle, mathématique, texte, liste, couleur, variable, fonction. En plus des blocs fournis dans la bibliothèque standard de Blockly, des nouveaux blocs peuvent être créés pour les adapter à un contexte particulier. Blockly fournit un outil appelé Blockly Developer Tools pour créer de nouveaux blocs.

Blockly est utilisé dans un grand nombre de projets, par exemple dans Blockly Games, un ensemble de jeux éducatifs pour enseigner les concepts de programmation tels que les boucles et les conditions.

Un autre exemple est Scratch 3 qui est également basé sur Blockly.

Bibliographie

Digital4Education

Le 20 mai 2015 lors de l’ICT-Spring à Luxembourg-Kirchberg, le Ministre de l’Education Nationale, de l’Enfance et de la Jeunesse, Claude Meisch, a présenté la stratégie Digital4Education pour développer les compétences du 21e siècle.

Le nom de la stratégie Digital4Education permet une double lecture qui illustre parfaitement les deux objectifs prioritaires :

  • digital education: la préparation des jeunes à un environnement de travail complexe et en mutation permanente, et à leur rôle de citoyen dans le domaine privé et public
  • digital for education: la promotion de nouvelles stratégies d’apprentissage et de projets pédagogiques innovants, utilisant le numérique à l’école et dans le monde périscolaire

La stratégie concrétisait les efforts de l’Education Nationale pour former de futurs spécialistes dans les TIC et pour promouvoir l’entrepreneuriat dans ce secteur. Elle visait par ailleurs à  réduire la fracture numérique en donnant accès à tous les jeunes, indépendamment de leur origine sociale, à des ressources pédagogiques de qualité.

La stratégie Digital4Education se déclinait et comprenait les projets phares suivants :

  • BEE SECURE, un programme qui vise à promouvoir une utilisation plus sûre des TIC à travers une information cohérente et des conseils aux citoyens
  • EduSphere, un portail pour enseignants destiné à soutenir l’enseignement et l’apprentissage
  • MathemaTIC, un outil numérique d’apprentissage des mathématiques pour le cycle 4 de l’enseignement fondamental
  • Digital Classroom Lëtzebuerg (DCL), un programme de développement de compétences techniques et technologiques avec les volets “Office 365 for Education” et Innovative Schools (utilisation de tablettes numériques en classe)
  • BEE CREATIVE, un programme qui vise à améliorer les compétences numériques (programmation, sécurité, design, communication, etc.) des jeunes résidents luxembourgeois et à contribuer à l’instauration d’une culture numérique au Luxembourg.

Bibliographie

Stratégie de Lisbonne

La stratégie de Lisbonne (ou agenda de Lisbonne, ou processus de Lisbonne) est l’axe majeur de politique économique et de développement de l’Union européenne entre 2000 et 2010, décidé au Conseil européen de Lisbonne de mars 2000 par les quinze États membres de l’Union Européenne d’alors.

L’objectif de cette stratégie fixée par le Conseil Européen de Lisbonne était de faire de l’Union Européenne « l’économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde d’ici à 2010, capable d’une croissance économique durable accompagnée d’une amélioration quantitative et qualitative de l’emploi et d’une plus grande cohésion sociale ». Les moyens envisagés étaient la réalisation d’une série de réformes globales et interdépendantes, alors que les actions menées par l’un des États membres étaient d’autant plus efficaces que les autres États membres agissaient de concert. Les champs de réforme étaient l’innovation comme moteur du changement, l’« économie de la connaissance » et le renouveau social et environnemental.

EduCoding

Kodieren, Informatisches Denken und problemlösendes Denken (Computational Thinking) sind Kompetenzen, die ab September 2020/21 in den Grundschulen gefördert werden.  Schüler und Schülerinnen lernen zu verstehen, wie digitale Geräte überlegen und üben, Handlungsanweisungen für digitale Geräte, auch Algorithmen genannt, selbst aufzusetzen.

Das Computational Thinking umfasst acht Kompetenzen :

  1. Mustererkennung
  2. Verallgemeinerung
  3. Zerlegung
  4. Abstraktion
  5. Algorithmisches Denken
  6. Iteration
  7. Debugging
  8. Evaluation

Die vier Etappen des Computational Thinking sind :

  • Problemdefinition
  • Planung
  • Umsetzung
  • Überprüfung

Bibliographie

 

 

Technolink

Technolink est l’infrastructure technique du Service de l’Enseignement de la Ville de Luxembourg. En 1998, l’instituteur Gaston Nilles, le webmaster du site Internet de l’école d’Eich, a été chargé de coordonner l’introduction progressive des technologies de l’information et des communications (TIC) dans toutes les écoles de la Ville de Luxembourg. Les pages web de son premier site sont encore en ligne aujourd’hui avec l’url classenilles.ecole.lu.

Gaston Nilles avait mis beaucoup d’enthousiasme à persuader les responsables
politiques de la Ville de Luxembourg de l’utilité des ordinateurs en classe, et ce non seulement en machines stand-alone, mais avec une connexion Internet. Si l’utilité de cet outil n’est plus à démontrer aujourd’hui, il en fut tout autrement à l’époque. Gast Nilles a non seulement convaincu les responsables politiques et pédagogiques, mais aussi et surtout, ses collègues, les enseignants et intervenants des classes de la Ville de Luxembourg.

Au début une soixantaine d’enseignants étaient équipés d’un portable et d’un projecteur et une prise réseau était installée dans leur salle de classe. Dans des réunions mensuelles, les bonnes pratiques, les projets, les expériences furent échangées. Très vite, les premiers outils pédagogiques du technolink virent le jour: les Edulinks, collection de ressources pédagogiques en ligne à disposition des parents et des enseignants, et le MiniBook, mini-logiciel de mise en page qui permet aux élèves de créer leur propre petit livre. Après 5 ans, le projet avait atteint son but: chaque salle de classe de la Ville de Luxembourg était équipée afin de permettre à chaque enseignant et à chaque élève de partager ses connaissances par Internet.

Le projet technolink a obtenu plusieurs récompenses depuis son lancement. Le Ministère de l’Éducation Nationale lui a attribué 3 fois le prix pour l’innovation en technologies nouvelles.

Dans le cadre de la stratégie de Lisbonne, décidée au Conseil européen en qui avait pour objectif de faire de l’Union européenne « l’économie de la connaissance la plus compétitive et la plus dynamique du monde d’ici à 2010 », des grappes TIC (ICT clusters) pour l’éducation et la formation ont été créées. En 2006, une réunion d’un groupe de travail de la grappe TIC « activités d’apprentissage par les pairs » a été organisée par le CTE à Luxembourg du 27 au 29 septembre 2006. Le projet technolink a été présenté à cette occasion et des visites du centre technolink et de quelques écoles primaires ont été organisées. Tous les participants ont été impressionnés par la qualité et les innovations de ce projet. L’observatoire européen pour les nouvelles technologies et l’éducation a cité le projet technolink comme exemple de meilleure pratique : Among the many initiatives that were presented and showcased around the issue of collaboration, the Technolink centre was a remarkable project in terms of the high quality services it provides for teachers in schools.

En mai 2007, Gaston Nilles partit en retraite. Les autorités communales décidèrent alors de pérenniser le projet : le centre technolink a été transformé en département à part entière du Service de l’Enseignement. Gast Groeber, qui est surtout connu comme auteur luxembourgeois, a succédé à Gaston Nilles et a dirigé le centre technolink jusqu’en septembre 2020.

Bibliographie

 

 

Réorganisation de l’enseignement fondamental

L’organisation de l’enseignement fondamental a été réformée par la loi du 6 février 2009. Cette loi introduit le concept des cycles d’apprentissage ayant chacun une durée de deux ans. Le premier cycle comprend une année d’éducation précoce dont la fréquentation est facultative et deux années d’éducation préscolaire faisant partie de l’obligation scolaire. Les deuxième, troisième et quatrième cycles suivants constituent l’enseignement primaire.

L’article 35 de la loi stipule que toute commune est tenue de mettre à la disposition les infrastructures et équipements nécessaires pour assurer l’enseignement fondamental. Chaque école est dotée d’une bibliothèque scolaire et assure l’accès des élèves aux technologies de l’information et de la communication (TIC).

Toutefois le chapitre IV concernant le personnel intervenant (articles 68 et 69) ne prévoit pas de personnel technique pour assurer le maintien des équipements TIC.

Bibliographie

Luxembourg Learning Center

Le 12 septembre 2018, le Luxembourg Learning Centre (LLC) a ouvert ses portes au public. Projet phare de la jeune université du Luxembourg, qui vient de fêter ses quinze ans d’existence, le LLC se distingue tant au plan architectural, par son insertion dans l’ancien site métallurgique de Belval, que dans son fonctionnement, qui privilégie l’autonomie de l’usager dans les différents services documentaire et espaces de travail proposés aux étudiants et aux chercheurs ainsi qu’à toute personne désireuse de profiter de ce cadre d’étude privilégié.

J’ai pris les photos qui suivent un mois après l’ouverture.

 

Bibliographie

Innovation mit industriellem Touch – Das Luxembourg Learning Center als Aushängeschild der Universität, Tageblatt 27.11.2018

Musée d’informatique

Le Computarium est un musée d’informatique virtuel et réel du Lycée Classique de Diekirch, créé en 2005 par Francis Massen. Le musée comportait en mai 2020 environ 1257 objets. Une visite de l’exposition Calculatrices et Ordinateurs d’antan est possible sur demande préalable.

L’exposition virtuelle du musée est sectionnée en cinq branches :

  1. calculatrices mécaniques, électromécaniques, règles de calcul, instruments mathématiques
  2. calculatrices électroniques de bureau
  3. micro- et mini-ordinateurs, machines de traitement de texte, systèmes de développement
  4. laptops, notebooks, PDA’s, caméras
  5. calculettes, consoles vidéo, robots et appareils divers

La vidéo ci-après est extraite d’un reportage diffusé sur RTL Télé le 2 juillet 2012.

Quelques images de cette vidéo sont présentées ci-après :

 

 

WILYTEC

WILYTEC était le premier serveur télématique pour jeunes au Luxembourg. Il a été mis en place par un groupe d’enseignants du Lycée Technique du Nord (LTN) à Wiltz, à la fin des années 1980, sous la direction de Nico Beckerich, professeur-ingénieur au LTN.

Démonstration de WILYTEC aux élèves du LTN par Nico Beckerich; photo : Arsène Kraus

Les débuts remontent à 1987 avec le lancement du journal du lycée « De Wily » (Schulzeitung, nicht Schülerzeitung) qui a été édité sur un système de traitement de texte. Dans le cours informatique du LTN on utilisait depuis 1986 un système Bildschirmtext, similaire au service Videotex des P&T, qu’on avait baptisé WILYTEC. Faute d’un moyen de connexion externe, ce système n’était accessible qu’à l’intérieur du LTN. Avec l’accroissement des données enregistrées pour le journal et pour le projet WILYTEC, le désir de rendre ces informations disponibles à des usagers externes grandissait.

Encouragé par le directeur du LTN, Fernand Schmitz, les responsables du journal et du cours informatique examinaient la faisabilité de créer un serveur télématique. En 1988, la Commission Européenne (CE) avait démarré un programme d’action de quatre ans, appelé PETRA, pour la formation professionnelle des jeunes et la préparation des jeunes à la vie adulte et professionnelle. Les objectifs du projet WILYTEC coïncidaient parfaitement avec les critères d’attribution d’une subvention PETRA. Fin février 1989, le LTN soumit sa demande auprès de la CE et obtint une réponse positive en juillet de la même année. L’aventure pouvait commencer.

Après l’installation d’un serveur, les premiers tests ont été effectués à partir de novembre 1989. On a constaté qu’un accès par le réseau téléphonique commuté ne répondait pas aux besoins des usagers et qu’une connexion multi-usager était requise. Suite à des pourparlers du LTN avec le Ministère de l’Education, on s’est mis d’accord d’intégrer le serveur WILYTEC dans l’infrastructure de RESTENA, toutefois sans perdre son autonomie.

WILYTEC est devenu ainsi le premier projet-pilote d’un serveur externe raccordé à RESTENA. Le système a été inauguré le jeudi 15 mars 1990 en présence de Paul Seiwerath qui remplaçait le Ministre de l’Education (Marc Fischbach) empêché. WILYTEC disposait d’une messagerie électronique et d’une base de données intégrées.

Equipements de WILYTEC; photo : Arsène Kraus

La configuration initiale de WILYTEC est présentée dans la figure ci-après :

Architecture de WILYTEC

Le serveur était accessible par le numéro téléphonique 95 75 55 ou par le NUA LUXPAC (0270) 48114350.

WILYTEC a été progressivement étendu. Sur base d’une collaboration avec le Service National de la Jeunesse (SNJ) et le Centre d’Information des Jeunes des informations destinées aux jeunes ont été ajoutées et actualisées régulièrement. Des milliers de logiciels libres ou share-ware pour tous les domaines ont été offerts pour le téléchargement aux usagers intéressés.

Trois mois après la mise en ligne de WILYTEC, quatre autres lycées disposaient d’une infrastructure pour se connecter au système : le Lycée Hubert Clémont (LHC) de Esch-sur-Alzette, le Lycée Michel Rodange (LMR) de Luxembourg, le Lycée Classique de Diekirch (LCD) et le Lycée Hôtelier de Diekirch (LHD, maintenant EHTL).

Deux ans après le lancement de WILYTEC, plus de 45.000 connexions avaient été établies, ce qui était considéré comme un franc succès par les responsables.

Wilytour

En 1992, Nico Beckerich démarra un deuxième projet télématique, Wilytour. L’objectif était de former les élèves du LTN dans la gestion informatique des ressources touristiques dans le nord du pays. Le nom officiel du projet était « PETRA L12 ». Comme le nom le laisse entendre, ce projet était également co-financé par la CE dans le cadre du plan d’action PETRA. Le projet a été réalisé en collaboration avec le Ministère du Tourisme et avec le Ministère de l’Agriculture. La première étape consistait à établir une base de données contenant toutes les informations et adresses en relation avec le tourisme.

Démonstration de WILYTOUR par Nico Beckerich; photo : Teddy Jaans

Après le départ en retraite de Nico Beckerich comme enseignant, il est resté attaché au tourisme. En 2011 il a publié le livre « Ettelbruck au fil des temps » aux Editions Lézarts, une année après  le livre « Diekirch au fil des temps ». Le 10 décembre 2019 l’auteur a présenté son dernier oeuvre Ettelbrécker Allerlee à la bibliothèque d’Ettelbruck.

Lors du 25ième anniversaire du LTN en 1994, De Wily, Wilytec et Wilytour étaient à la une.

Bibliographie

 

Les écoles sur Internet

La première école luxembourgeoise présente sur Internet était celle de Steinsel. La page web afférente a été téléchargée le 1er février 1996 par Claude Reuter sur le serveur RESTENA. On la retrouve encore aujourd’hui dans les archives de l’Internet Wayback Machine, amputée de quelques images qui ne sont plus disponibles.


Le site web a été régulièrement mis à jour et étendu avec de nouvelles fonctionnalités.En 2001, le site web a été transféré sur l’url www.steinsel.lu/ecole. Une redirection a été prorammé sur le serveur RESTENA.

Autres écoles fondamentales pionnières

Les autres écoles fondamentales qui disposaient d’une page web sur Internet avant l’an 2000 étaient, par ordre alphabétique :

  • Bourscheid ; webmaster : André Thull
  • Consdorf ; webmaster : John Morris
  • Differdange ; webmaster : Raymond Lauer (technique), Robert Fleischhauer (contenu)
  • Ecole Européenne ; webmaster : @?
  • Eich (Luxembourg-Ville) : webmaster : Gaston Nilles
  • Elvange-Burmerange ; webmaster : @?
  • Frisange ; webmaster : @?
  • Hesperange ; webmaster : @?
  • Kayl ; webmaster : Eric Falchero
  • Lamadelaine ; webmaster : Guy Schrank
  • Luxembourg- Ville, école francophone ; webmaster : @?
  • Mondercange ; webmaster : @?
  • Nidderaanwen ; webmaster : @?
  • Réiserbann ; webmaster : Paul Klein
  • Sandweiler ; webmaster : Danièle Konsbruck, Claudine Thiry
  • Schifflange ; webmaster : @?
  • Schouweiler ; webmaster : Robert Kass, Patrick Arendt
  • Steinfort ; webmaster : Marc Agosta, Irène Kneip-Brisbois, Jean-Paul Rollinger

Les images qui suivent connent une impression sur la variété des premières pages web développées par les enseignants des écoles fondamentales.

Ces pages web étaient très différentes des affichages actuels sur Internet et elles avaient un charme particulier. En général elles étaient très colorées, avec des textes qui défilaient de gauche à droite ou l’inverse, des images GIF qui bougeaient ou clignotaient, des mélanges de polices de caractères etc. La majorité des sites web comportait un compteur  pour afficher le nombre de visites. Les dimensions des pages étaient souvent optimisées pour une hauteur et une largeur spécifiques, par exemple 800 x 600 pixels. L’utilisation de plugins Flash ou Java était encore rare.

Beaucoup de pages comportaient des erreurs HTML ou intégraient des contenus qui se trouvaient dans des répertoires séparés, par exemple les photos, ce qui explique qu’à l’époque l’enregistrement des pages par les robots de l’Internet Wayback Machine était souvent incomplet. Ainsi la restitution des pages à partir des archives est aujourd’hui rarement parfaite.

Le site web olefaschool.lu, réalisé par la société EducDesign, inclut comme référence une liste des écoles qui utilisent actuellement leur outil OLEFA CMS. D’autres écoles sont référencées sur le portail oli.education.lu géré par le CGIE. Les images des pages web de quelques écoles fondamentales, pionnières du web, affichées ci-après, témoignent de l’évolution dans la conception et le layout des sites web de l’éducation dans un laps de temps de vingt ans.

Ecoles de la ville de Luxembourg

Les pages web des écoles fondamentales de la Ville de Luxembourg sont hébergées sur l’infrastructure technolink.lu de l’administration communale. Le projet Technolink a été lancé en 1998 par Gaston Nilles, qui était à l’époque enseignant à l’école d’Eich et webmaster du site Internet de l’école.

Bibliographie